BINAVIBE

Peut-on boire l'eau de rivière ?

et en montagne ?

Accueil > Trek & Bivouac > Peut-on boire l’eau de la rivière en montagne​ ?

Je réponds ici, sans détour, à la question posée dans le titre de cet article : peut-on boire de l’eau de rivière sans filtration en montagne ? c’est NON. 

En randonnée, il y a toujours ce dilemme : porter toute l’eau nécessaire dès le départ — et alourdir son sac de plusieurs kilos — ou se dire qu’on trouvera bien de l’eau en chemin. Après tout, on est en montagne, il y aura forcément un ruisseau, une source, un torrent…

Et quand on en croise un, justement, c’est tentant : l’eau est claire, fraîche, elle glisse sur les rochers, elle a l’air parfaitement pure. On a envie de remplir sa gourde, de boire à même le filet d’eau, de faire confiance à la nature.

Mais ce que l’on ne voit pas toujours, ce sont les bactéries, les parasites ou les bêtes qui sont passées avant nous. Même la plus belle des sources peut être contaminée. Et les conséquences, elles, sont bien réelles.

Alors, faut-il porter 3 litres d’eau à chaque sortie ? Boire sans filtrer et croiser les doigts ? Ou existe-t-il une autre solution, simple et légère, pour s’hydrater en montagne sans se poser mille questions ?

Dans cet article, on répond ensemble à cette question.

Peut-on vraiment boire l’eau d’un ruisseau en montagne ?

C’est une question que beaucoup se posent en randonnée. L’eau ruisselle sur les rochers, elle semble claire, fraîche, vivante. Visuellement, tout semble parfait. Mais la réalité est moins simple. Même à haute altitude, les cours d’eau peuvent être contaminés : par des troupeaux, des animaux sauvages, ou simplement par ce qui se passe en amont – que l’on ne voit jamais.

Le problème, c’est qu’on ne peut pas savoir à l’œil nu. Une eau limpide peut très bien contenir des parasites comme Giardia ou Cryptosporidium. Ces micro-organismes, invisibles, peuvent provoquer des troubles digestifs qui gâchent plusieurs jours de voyage.

Alors que faire ? Certains choisissent de faire bouillir l’eau ou d’utiliser des pastilles chimiques, mais ce n’est pas toujours pratique — surtout en mouvement. C’est pour cette raison qu’on a cherché une solution légère, fiable, et rapide.

En 2024, nous avions pour projet de traverser les Alpes avec nos 4 enfants. Si vous faites le calcul du poids d’eau à porter pour 6 personnes, vous réalisez vite que c’est ingérable. Quant à faire bouillir de l’eau ou jouer avec des pastilles… on oublie. Trop long, trop lourd, trop contraignant.

Je vous glisse juste un teaser avant la fin : on a mis la main sur des gourdes filtrantes Öko qui ont littéralement changé notre voyage. Je vous en parle plus bas… mais sans elles, notre aventure aurait pris une toute autre tournure.

Faire bouillir ou utiliser des pastilles pour filtrer l’eau : vraiment pratique ?

Quand on sait que l’eau de montagne peut être contaminée, la première idée qui vient, c’est de la faire bouillir. Et en théorie, c’est efficace : une eau portée à ébullition pendant plusieurs minutes élimine la majorité des germes et bactéries.

Mais en pratique ? En randonnée, on n’a pas toujours le temps ni l’envie de sortir le réchaud, surtout quand on est en pleine montée ou qu’il pleut. Allumer un feu ou chauffer de l’eau au milieu d’un sentier, ce n’est pas réaliste. Et il faut ensuite attendre que ça refroidisse… Bref, pas toujours adapté à une rando dynamique.

L’autre méthode, ce sont les pastilles de purification. C’est léger, ça tient dans une poche, et ça semble être une bonne solution. Mais là encore, il y a des limites : il faut attendre entre 30 minutes et 2 heures pour que l’eau soit potable, et le goût est franchement étrange. Beaucoup abandonnent après quelques utilisations. Et puis surtout, cela n’apporte pas de l’eau fraiche. L’attente fait qu’en août, notre eau était « chaude » au bout de plusieurs minutes.

Dans notre cas, on était clairement à la recherche d’une solution immédiate, pratique, accessible financièrement et sans goût désagréable. Alors que faire ?

Et c’est en se posant cette question qu’on a découvert la gourde filtrante OKO, qui permet de boire immédiatement, directement dans une rivière, une fontaine ou même un robinet douteux, sans se poser de questions.

Et je vous avoue qu’avec 4 enfants, durant notre traversée des Alpes à pied, cela nous a été tellement utile.

Pourquoi on a choisi ÖKO

  • Pour ne plus porter 3 kilos d’eau à chaque sortie — on boit ce qu’on trouve en chemin, sans stress.
  • Parce que ça filtre instantanément : pas besoin d’attendre comme avec les pastilles ou de faire chauffer l’eau.
  • Parce que le goût est neutre, sans arrière-goût chimique — juste le goût de l’eau, comme on l’aime.
  • Parce que c’est léger, solide et simple : pas de pile, pas de pièces fragiles, pas de prise de tête.
  • Parce qu’on peut boire à peu près partout : en montagne, en bivouac, dans un train, à l’aéroport, ou même en voyage à l’étranger.

Depuis qu’on l’utilise, on ne réfléchit plus. On remplit, on boit, c’est tout. Et ça change vraiment la manière de randonner.

Comment fonctionne la gourde filtrante ÖKO ?

La gourde ÖKO est équipée d’un filtre de niveau 2 de qualité militaire, développé à l’origine pour la NASA. Ce filtre élimine plus de 99,9 % des bactéries, parasites, protozoaires et virus présents dans l’eau douce non traitée (ruisseaux, torrents, lacs…).

Son fonctionnement est ultra simple : on remplit la gourde avec n’importe quelle eau douce, on referme, et on boit directement à l’embout. La filtration se fait instantanément au moment où on aspire — sans attente, sans pompe, sans produits chimiques.

Le filtre fonctionne grâce à une technologie mécanique par fibres électropositives, capable de bloquer les particules jusqu’à l’échelle nanométrique. Il a une durée de vie moyenne de 400 litres, ce qui correspond à plusieurs mois d’utilisation quotidienne.

La gourde est disponible en plusieurs formats (500 ml, 1 L…), pour s’adapter aux besoins de chacun. Légère, intuitive, sans bouton ni manipulation compliquée, elle est aussi très facile à utiliser pour les enfants — même en autonomie.

En bref, c’est une solution simple, fiable, et durable pour boire de l’eau en montagne, en voyage, ou en situation nomade… sans se poser de questions.

Quels sont les risques si je bois de l’eau non filtrée ?

Boire de l’eau directement à la source en montagne peut sembler naturel, voire sans danger. L’eau est claire, fraîche, elle paraît propre. Pourtant, cette apparence est trompeuse : de nombreux micro-organismes pathogènes peuvent s’y trouver, sans aucun signe visible.

Les principaux agents de contamination sont les bactéries (comme Escherichia coli, Salmonella), les protozoaires (notamment Giardia intestinalis et Cryptosporidium parvum), ainsi que certains virus entériques (comme le norovirus ou l’hépatite A). Ces germes sont souvent présents dans les excréments ou urines d’animaux — qu’ils soient sauvages (cerfs, marmottes, renards…), domestiques (moutons, vaches, chèvres) ou même chiens de randonneurs.

Une simple pluie peut entraîner ces contaminants dans les torrents, les sources ou les flaques en altitude. Et une gorgée suffit. Les maladies associées vont de la giardiase (ballonnements, crampes, diarrhée persistante) à la cryptosporidiose, en passant par des cas plus rares mais sévères comme l’hépatite virale ou la leptospirose

Chez un adulte en bonne santé, cela se traduit souvent par diarrhées, vomissements, douleurs abdominales et fièvre. Mais chez les enfants, les personnes âgées ou immunodéprimées, les conséquences peuvent être bien plus sérieuses.

Et ce n’est pas exceptionnel : chaque année, de nombreux randonneurs, bivouaqueurs ou trekkeurs tombent malades après avoir bu de l’eau “propre” en apparence. Une simple négligence peut ruiner plusieurs jours de marche — ou exiger un rapatriement.

C’est justement pour éviter ces risques qu’on a choisi une solution fiable : depuis qu’on utilise notre gourde filtrante OKO, on boit où on veut, sans stress. L’eau passe par un filtre de niveau microbiologique, conçu pour retenir précisément ces agents pathogènes. Et ça change tout.

L’indispensable pour toutes vos randonnées

On ne part plus sans elle : notre gourde filtrante OKO fait partie de l’équipement de base depuis des années. Elle nous a suivis sur toute notre traversée des Alpes en famille et ne nous a jamais déçus. Légère, fiable, sans arrière-goût, elle a clairement transformé notre façon de randonner.

Peu connue du grand public, cette gourde permet de filtrer l’eau directement depuis une rivière, une fontaine ou un lac. Grâce à elle, fini les litres d’eau à porter sur le dos : on recharge au fil du chemin, et on boit en toute sérénité.

Elle nous a offert une vraie liberté. Plus besoin de rationner ou de courir après un robinet : on s’hydrate quand on veut, où on veut

Pour ceux qui nous posent souvent la question, sachez qu’on a un code promo de -10 % : OKOBINAVIBE.

Et l’eau dans un refuge de montagne ? : pas toujours si simple…

Quand on dort en refuge, on pourrait croire que la question de l’eau est réglée. Mais ce n’est pas toujours le cas. Dans certains refuges, l’eau n’est pas potable ou nécessite d’être filtrée. Dans d’autres, elle est vendue en bouteille, parfois à des prix très élevés, surtout dans les zones reculées.

Et puis il y a les bivouacs à proximité, ou les points d’eau indiqués mais finalement à sec… Bref, même en dormant en refuge, on n’est jamais totalement à l’abri d’un imprévu côté hydratation.

Avoir une gourde filtrante dans le sac, comme la OKO, permet de faire face à ces situations. Une fontaine de source, un filet d’eau derrière le bâtiment, un torrent à proximité… Il suffit de remplir, de visser le filtre, et on boit. Pas de stress, pas de dépendance, et souvent quelques euros économisés.


C’est tentant : l’eau jaillit avec force, elle est fraîche, claire, parfois même spectaculaire. Mais une cascade, c’est d’abord un point de passage, pas une source. Elle peut être alimentée par des torrents de surface, des ruisseaux en amont, ou de simples ruissellements.

Ce que l’on ne voit pas, c’est ce qui s’est passé en amont : pâturages traversés, animaux morts, zones de boue, ou même pollution humaine. L’eau qui alimente une cascade peut avoir été contaminée bien avant d’arriver jusqu’à vous — même si elle a l’air limpide.

Donc non, on ne doit pas boire l’eau d’une cascade sans la traiter ou la filtrer. Le débit et la beauté du lieu ne sont pas des garanties de potabilité. C’est là encore que notre gourde filtrante prend tout son sens : elle nous permet de boire l’eau en sortie de cascade, sans crainte.

Quels sont les risques si je bois l’eau d’une rivière ?

Une rivière semble souvent être une source d’eau naturelle, mais elle est en réalité l’un des milieux les plus exposés à la contamination. L’eau y circule lentement, traverse des pâturages, des zones agricoles, des villages… et récolte sur son passage toutes sortes d’impuretés.

Les principaux risques sont microbiologiques : bactéries (E. coli, Salmonella), parasites (Giardia, Cryptosporidium), virus (hépatite A, norovirus). On y trouve également parfois des résidus chimiques (engrais, pesticides) ou des métaux lourds.

Les sources de contamination sont multiples : déjections animales (vaches, moutons, sangliers…), eaux usées, baignades, animaux morts en amont. Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, plus la rivière est large ou calme, plus elle est à risque, car les germes s’y accumulent.

Boire de l’eau de rivière sans filtration, même en montagne, c’est s’exposer à des troubles digestifs parfois sévères. D’où l’intérêt d’un filtre adapté — comme celui intégré dans notre gourde OKO — qui permet de rendre cette eau sûre à boire, sans manipulations complexes.

Peut-on boire l’eau des glaciers ?

On pourrait croire que l’eau des glaciers est la plus pure qui soit : issue de la fonte de neiges anciennes, à des altitudes élevées, loin de toute pollution humaine. Mais en réalité, ce n’est pas toujours une bonne idée de la boire directement.

D’abord, l’eau de fonte glaciaire peut contenir des particules fines, des sédiments minéraux, voire des métaux lourds accumulés au fil du temps dans la glace. Ensuite, dès qu’elle s’écoule à l’air libre, elle devient vulnérable à la contamination : excréments d’animaux, ruissellements chargés de poussières, algues microscopiques…

Elle peut aussi être contaminée par des bactéries, parasites ou spores, surtout si elle stagne dans des flaques ou traverse des sols avant d’être captée. Même les eaux qui semblent les plus “nobles” en montagne ne garantissent pas une absence totale de risque sanitaire.

Conclusion : oui, on peut utiliser l’eau de glacier, mais pas sans la filtrer. Et dans ce cas-là aussi, une gourde filtrante efficace (comme la nôtre) permet de s’en servir en toute sécurité, sans se poser de questions.

En montagne, on a parfois l’impression qu’on peut “deviner” si une source est potable. L’eau est claire, elle coule, il n’y a pas d’odeur… Mais en réalité, il est presque impossible de juger à l’œil nu. Ce n’est pas parce qu’une eau a l’air propre qu’elle l’est vraiment.

Quelques repères peuvent quand même aider : une eau qui jaillit directement de la roche (source captée), loin des pâturages ou chemins fréquentés, est généralement plus fiable. Mais il suffit qu’un animal soit passé juste avant vous, ou qu’un orage ait lavé des excréments en amont, pour que l’eau devienne impropre à la consommation.

Les eaux stagnantes, les zones proches de troupeaux ou les torrents boueux après la pluie sont à éviter absolument. Ce sont les situations les plus à risque.

Mais dans le doute — et il y a souvent doute — la seule vraie sécurité, c’est de filtrer. Et c’est là que la gourde OKO fait toute la différence : elle permet de boire sans réfléchir, même quand on n’a aucun repère sur la qualité de l’eau. On la montre d’ailleurs en pleine action à 1min13 dans cette vidéo.

Notre avis : boire dans une rivière en montagne, oui… mais jamais au hasard

On l’a vécu nous-mêmes pendant notre traversée des Alpes : gérer l’eau peut vite devenir un casse-tête, voire un frein à l’aventure. Mais avec la bonne solution, ce n’est plus un problème.

Aujourd’hui, on part léger. On ne transporte plus des litres d’eau. On boit où on veut, quand on veut. Et surtout, on ne se pose plus la question : est-ce que je peux boire ici ?

👉 Découvrir la gourde filtrante ÖKO

Notre avis après la traversée des Alpes

On a testé beaucoup de matériel pendant notre traversée des Alpes à pied, mais la gourde filtrante ÖKO fait clairement partie des objets qu’on ne laissera plus jamais à la maison. franchement allez voir le prix ! Le ratio bonheur d’avoir de l’eau frâiche/poids dans le sac et santé est génial.

Sur le terrain, elle a été fiable, légère, pratique, sans prise de tête. On l’a utilisée dans des torrents, des fontaines, parfois même dans des flaques en altitude. L’eau avait toujours bon goût, aucun de nous n’a été malade, et on a pu réduire considérablement le poids transporté dans nos sacs.

On n’avait pas besoin de réfléchir : on remplissait, on buvait. C’est tout. Et avec 4 enfants, croyez-nous, ça compte. On gagnait du temps, de l’énergie, et on évitait bien des complications.

Alors oui, ce n’est pas un gadget. C’est un outil qui peut faire la différence entre une rando sereine… et une galère. Et aujourd’hui, on ne part plus sans elle.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

5/5 - (5 votes)

ICI, ON INSPIRE D’AUTRES PARENTS À SE LANCER DANS L’AVENTURE.

Toutes les semaines, notre newsletter vous apporte :

🏕️ Des idées de micro-aventures en France accessibles en famille

💸 Des bons plans pour voyager malin

🌍 Des idées qui donnent envie de faire les sacs et partir à l'aventure


Rejoins +de 1000 lecteurs

Bienvenue dans l'aventure ! Vous recevrez nos meilleurs inspirations et bons plans voyage chaque semaine 💃